Que peut l’art pour sauver l’homme prisonnier de la technologie ? Pas grand-chose quand il est lui-même esclave de l’ego. C’est en substance ce que nous dit Eiríkur Örn Norðdahl dans Heimska, La stupidité, un roman corrosif et enlevé qui décrit les mœurs d’une société Islandaise ankylosée et perdue dans sa propre contemplation. Poursuivre la lecture